Bonjour Ivan,

Perso je vais aller à l'encontre de ce qui a été dit précédement. Je ne remets pas en cause la qualité des prises de vue, mais le forme dont tu l'as traité.
Je vais pas dire que tes protraits ne me touchent mais je les trouvent trop présents dans la série. Alors oui cette association vient en aide à des défavorisé mais pour moi un sujet comme celui la doit traiter du partage et de l'action, du don de soi. Un sujet comme celui la tu ne peux pas traité la cause mais les consequences (je ne sais pas si je suis bien clair dans mon expression là).
En fait ce qu'il me manque dans ton reportage c'est de voir les gens de cette associations en action auprès de ces défavorisé, ici je vois les gens de l'association sur certaines photos et les défavorisés sur d'autres photos et dans le fond pour moi tu les sépares par une action photographique alors que leur but est de rapprocher deux mondes.

Voila Ivan, j'aime beaucoup tes photos mais là pour moi (je dis bien pour moi) sur ce coup la, je te trouve un peu "hors sujet". Ca me trou un peu le ..., de dire ça, alors que je me considère come un photographe du dimanche

Je ne peux m'empêcher de donner mon point de vue.

Ivan sait déjà ce que je pense de ces/ses images.
Je vais donc me permettre de n'être pas d'accord avec ce qui est dit plus haut.

Comment peut-on dire qu'Ivan est hors-sujet ?
Déjà qu'est-ce que cela veut dire être hors-sujet ?
Si je lis la - trop - courte introduction d'Ivan dans son premier post, si je regarde ses images, je ne vois pas en quoi il y a (cette expression bizarre de) hors-sujet.
Regardez les photos.
Il y a trop de portraits qui véhiculent trop de force ? C'est ça le reproche ?
Il faut qu'il y ait alternance entre bénévoles et personnes en difficultés ?
Il faut des photos des plats qui fument, des bénévoles qui courent pour servir ?
Ne peut-on faire confiance à l'oeil d'Ivan. Ne prouve-t-il pas au travers de ses/ces images que l'on peut avoir confiance en son oeil ?
A-t-il dit que son travail était fini ?
Serions-nous capables de faire ce qu'il a déjà fait ? Pas forcément dans un sens photographique mais dans le sens de "l'aller vers l'autre". Réussir à franchir les barrières sociales qui (malheureusement) existent ?

La critique ne me dérange pas. (d'autant moins qu'ici elle ne concerne pas mes photos !)
C'est la forme qu'elle prend ici qui me chagrine.
Que l'on dise : "tiens j'aurais aimé voir la directrice de l'assoc' avec les bras chargés de sacs de courses !" ou "dis donc, tu t'es pas foulé l'orteil pour la description du bouzin dans ton premier post". OK.
Que l'on dise - schématiquement - tu t'es viandé. Zéro, nul, sale, moche. 02/20... pas d'accord...

(ceci ne se veut pas polémique, ni même insultant, je suis juste chagriné par ce que j'ai lu. Chagriné comme si c'était moi qui avait pris ces photos. Et Dieu sait que j'aurais aimé les prendre ces photos)